Tidididi…….. Tidididi…….. Tidididi !!!
Mouahhhhhhh, il est quelle heure ?.....7h….Trop tôt……
Je reporte à 7h30, j’aurais le temps, j’ai rendez-vous à 8h avec Clement pour aller à l’aéroport… Tin chui encore complètement fait…
Un verre d’eau et Bim, redodo…
Tidididi…… Tidididi……
Nan, c’est pas possible, j’ai reporté le réveil ya 1 min…. Allez yop, 7h45, je ne prendrais pas de douche et ça ira. Re-verre d’eau et re-dodo !!
TocTocToc…. Heing quoi qu’est-ce qu’il se passe ? Tin merde, je me suis rendormi
« OkOk Clem, j’arrive », vite debout, fringues (oubli du câble d’appareil photo…) et hop, je prends mon sac, un verre d’eau, 2 cachets de doliprane pour atténuer le mal de crâne et me voilà parti avec Clément pour l’aéroport de Magenta.
8h20, Aéroport de Magenta. Encore complètement saoul de la super soirée de la veille, je demande à un mec de la sécurité où se trouve l’enregistrement. Celui-ce me répond en éclatant de rire que c’est juste devant moi… Pas vu, trop saoul… Bof.
Je pose mon bagage sans trop savoir ce que je fais, je récupère mon ordi à la dernière minute pour éviter qu’il soit trimballé dans la soute et voilà, mon sac est parti. Je me pose sur un siège pour attendre l’embarquement et je m’endors doucement jusqu’à ce qu’on nous appelle pour l’embarquement. Là, les détecteurs de métaux sont éteins, personne pour nous contrôler, on passe directement en salle d’embarquement et là, Hop, re-dodo. C’est donc dans un état peu recommandable que j’embarque. En entrant dans l’avion, Surprise !! Le chef de bord (Stewart) est un des mecs avec lequel je fais de l’Aïkido depuis 2 mois J J Sympa ! Bon, il n’a pas été très causant, mais c’est toujours marrant !
Le vol se déroule ensuite entre dodo et admiration de la barrière de corail qui est magnifique ! Puis après une grosse inquiétude sur la météo pour cause de très gros nuages sur notre route, nous atterrissons à Ouvéa. Je récupère doucement de ma cuite, Je rencontre Elise et Laurent, deux colocs à Camille à l’aéroport. Puis je fais connaissance avec Philippe le père de Joris. Nous discutons un peu en attendant les bagages, puis nous voici partis sur la route. Première impression : Ils sont ou les gens ? En effet, nous ne croisons pas grand monde, mais tout le monde salue de la main, Sympa !
Arrivée à la maison Buchou, présentation de Michèle, la mère de Joris, petite ballade sur la plage qui se trouve à environ 20m devant la maison, puis nous prenons les vélos avec Joris pour aller nous balader un peu au Nord. Petites plages superbes, qui ne sont en effet que des bouts de l’immense plage de 25km qui longe l’atol d’Ouvéa, nous cueillons quelques citrons doux, on s’arrête à l’usine de dessalement, petite pause aussi dans une carrière de … euh je sais plus le nom… une sorte de sable composé uniquement de coquillages. Puis nous redescendons vers la maison pour le repas de midi. On prends tous la voiture pour aller un peu dans le sud sur une plage qui se trouve en face du Paradis d’Ouvéa, le seul Hôtel de l’ile (et quel hôtel…) petit repas dans un snack sympa en bord de plage, offert par les parents de Joris, Merci encore.
Joris, pas mécontent de rentrer tous les wekends...
Puis sieste sur la plage pour récupérer de la cuite (j’avais entre temps pris 2 bières avec Philippe et Joris…) puis c’est parti pour le pont de Mouli, Nous admirons les poissons qui passent dessous, pas de tortues, pas de requins, mais il paraît qu’il y en a plein en général !
Nous n’avons pu observer que quelques carangues qui se baladaient. On remonte ensuite à la maison en passant par la forêt dense pour se balader. En arrivant, vers 16h on prends les cannes et direction le warf pour aller pêcher au vif. Le warf, c’est là ou les bateaux viennent approvisionner l’île. Et quand ils ne viennent pas, ben c’est le BORDEL ! par exemple, nous n’avons pas d’eau chaude ni ne moyen pour faire cuire autre que le feu de bois. En effet, il n’y a pas eu de gaz depuis 1 sem et il n’y en aura pas avant la semaine prochaine !! et oui, c’est aussi ça vivre à l’écart de la civilisation ! Nous arrivons donc au Warf après avoir déposé Michèle sur une petite plage côté Océan (il y a deux « côtés » à Ouvéa, côté lagon et côté océan).
On se pose sur le warf pour pêcher, mais pas de bol, comme l’annonçait le calendrier Polynésien, ce n’est pas un bon jour pour la pèche. Pas grave, on profitera du coucher de soleil ! on rentre ensuite en passant chez 3 amis de la famille ou on se pose discuter un moment. On rentre ensuite à la maison, Petit cocktail, petite partie de billard indien, puis repas. Un excellent (succulent ?) Steak de Wahoo pêché la semaine précédente… jamais mangé un aussi bon poisson… excepté peut être les petites soles de Pierrot une petite sauce au curry… trop bien ! Le tout accompagné d’un petit, n’en déplaise aux amateurs, vin australien. S’est ensuivi un petit verre de calva, une partie de Poker ou j’ai fait honneur à mon très cher frère (j’ai plumé tout le monde jusqu’à l’antépénultième partie ou j’ai, comme il n’y avais pas de mise réelle, tout perdu sur un coup de tête. Bof, sur 4h de jeu, une seule défaite et beaucoup de bluff réussiJ. Couché 1h du mat’ pour commencer à 7h45 la plongée, dur !!
Grosse nuit de sommeil, l’alcool et la nuit de la veille aidant, puis réveil à 6h30 par Philippe qui avait oublié que je dormais dans le salon et qui cherchais la télécommande petit ptit dej (confiture de coco-vanille mmmmmhhhh !) puis départ pour la Grande, très grande plongée… Joris et son père m’amènent, là bas je fait connaissance avec Valérie, la monitrice qui s’occupe des plongeurs expérimentés et de Roberto, Italien pur souche, supra sympa, super expressif et surtout bien marrant. Je retrouve aussi Elise et Laurent qui vont faire une plongée pendant que je ferai mon baptême. Sont aussi là quelques autres personnes que je retrouverai plus tard dans mon aventure. Nous chargeons le bateau, on cherche des équipements à notre taille pour la plongée et c’est parti !
Le bateau se dirige vers la pointe de Mouli et la passe de Coëtlogon, le temps est merdique au possible, mais bon, on verra… On arrive sur place, les Plongeurs se préparent pendant que les baptêmes discutent avec Roberto qui nous explique les bases de la plongée : Respiration, décompression, équilibre, tout ça est assimilé, du moins théoriquement, assez rapidement. Je passe ensuite en premier –très bon choix vous le verrez plus tard car le couple qui fait son baptême avec moi hésite un peu… Début de plongée sympa, respiration : easy, une légère appréhension quand même en début, puis tout se passe bien, Roberto est content, il m’accompagne jusqu’au fond en suivant la ligne de la bouée du bateau. Arrivés au fond, il voit que je n’ai plus besoin du cordon ombilical et me laisse me balader tout seul on s’oriente, vers 7-8m de profondeur, vers le tombant entre deux énormes patates de corail splendides et là…wahhhhhh il est ou le fond ??? On arrive direct sur le tombant, grand espace bleu marine ou on ne voie rien. On admire tous les poissons qui se trouvent sur notre droite en laissant le grand bleu à gauche. Vers 10m, les yeux sont éblouis par tout ce que je voie. Coraux de toutes les couleurs, bénitiers énormes, poissons clowns, coraux mous, ……….. et il faudrait encore plein de petits points pour tout énumérer. Les photos que je dois recevoir du photographe qui nous accompagnait devraient arriver et m’aider à illustrer ce que j’ai vu. ‘fin bon, nous continuons. Arrive un moment, un petit requin pointe blanche montre son nez à 50-100m dans le grand bleu. Nous le surveillons et continuons notre progression. Un grand thon « dent de chien » nous suit sur la gauche, il doit bien peser ses 100kg… Enorme. Et là, Roberto me fait signe de stopper, une ombre immense se profile 10m au dessus de nous, je ne comprends pas tout de suite ce que c’est, Roberto me fait signe des mains. Une raie Manta. 2-3m d’envergure, une prestance à couper le souffle, nous nous approchons jusque quelques mètres d’elle, mais elle ne bronche toujours pas. Elle est en fait en train de se faire nettoyer sur une « station de nettoyage » en fait une patate de corail ou des milliers de petits poissons attendent les gros pour se nourrir. Elle nous regarde, continue de tourner. Nous la laissons avec regret car j’ai largement dépassé mon temps de baptême, en effet, j’ai été aussi longtemps sous l’eau que les plongeurs !! Mais ça en valait tellement le coup !!! je remonte donc sur le bateau, les plongeurs aussi. Je rejoins 2 mecs qui faisaient du PMT autour du bateau et je m’exerce à battre mon record de profondeur (11-12m) tout en nageant avec les poissons demoiselles et les poissons clowns. Nous partons ensuite un peu plus loin dans la passe pour que les plongeurs fassent leur deuxième plongée de la journée. J’admire un peu le moteur (250cv, bien puissant), puis me met à l’eau. Je passe dans la passe pour me diriger vers le tombant. Et là, passe dans le sens inverse de mon chemin, un petit pointe blanche, 5-6m en dessous de moi. Je le regarde disparaître au loin puis me dirige vers une patate qui se trouve en face de moi une petite méduse toute dorée, des poissons de toutes les colleurs qui existent dans le monde, des coraux pareil, une multitude de vie qui ne cesse de m’ébahir. Je passe 30 bonnes minutes à m’extasier devant ces merveilles que je n’ai jamais vues ailleurs !
Un petit requin pointe blanche commence à me tourner autour, je décide donc de rentrer car je suis un peu loin du bateau. Il m’accompagne, 2m à ma gauche tout le retour. Un autre me suis à 1m derrière et fait demi tour dès qu’il est trop prées de moi. Impressionnant, mais sympa !
Je remonte sur le bateau pour assister à 1h de colère de Roberto contre les Japonais et les Chinois qui tuent les baleines et bouffent les requins. Assez marrant, mais tellement vrai !! quand je voie les deux requins qui m’entouraient et qui auraient pu me bouffer 50 fois pendant mon retour au bateau…
On rentre au « port », mais il n’est que 13h30. Je demande donc à Roberto qui accompagne Elise et Laurent de me déposer dans la tribu de Mouli. Là je me mets sur la plage et je la remonte pendant bien 2h jusqu’au Paradis d’Ouvéa. Superbe. En chemin, je rencontre un Monsieur qui me raconte qu’il a vu une très jolie italienne sur la plage et qui me conseille de me dépêcher pour la voir, marrant !
Je fait ensuite du pouce pour rentrer. Un mec qui bosse à l’hôtel me prends dans son pickup et me dépose vers 17h juste devant chez la famille. Là un vieux monsieur qui bosse avec Philippe s’arrête, me dit bonjour, me dit qu’il bosse avec Philippe, me présente ses deux filles….super mignones et s’en va ! C’est aussi ça la Calédonie !
Je me pose ¾ d’heure sur la plage en face pour attendre la famille qui est allée pêcher au gros dans la même passe ou nous étions. Mais ils n’ont eu qu’un wahoo, que nous mangeons en apéro, cru, coupé en dès et ensuite en plat principal avec une sauce à l’ail, mmmmhhhhh encore et toujours !
Culture vivrière d'Ouvéa...
Petit apéro donc, journée sympa, trop bien !! redodo, (enfin une vraie nuit complète !) puis le lendemain, je me dit que je vais faire comme m’a conseillé Michèle, je vais aller voir Antoine qui fait des visites dans le nord. Je l’appelle donc à 8h20 et là il me dit « ben pas de problème, on se retrouve à 9h » et là merde… téléphone en panne. Pas possible de lui dire que je sais pas si je vais arriver à l’heure ! je prends donc ma tite sacoche, un bob, et hop sur la route à faire du pouce. Quelques voitures passent, puis une se décide à me prendre. Malheureusement, les deux femmes qui la conduisent ne vont qu’à Wadrilla, une tribu juste au nord de celle ou je loge (Nimaha) pas grave, je monte quand même, c’est ça de gagné ! Je trouve ensuite un monsieur super sympa qui a monté le seul « supermarché » qui en fait une petite boutique du nord. Il m’amène jusqu’à Antoine. Il est 9h pile et Antoine me fait « Ah ben tu es le premier ! Les autres arrivent dans ½ heure ! » En fait d’une demi heure, ils sont arrivés au bout d’une bonne heure, ce qui fat que nous sommes partis vers 10h. Pas grave, on a attendu devant une église superbe, reste de la première mission qui est arrivée à Ouvéa. Comment décrire Antoine. C’est un mec sympa, beaucoup plus dans l’air du temps que 98% des gens en Calédonie, il a vécu en Bretagne ou il a épousé… une bretonne (lui est kanak) il à ensuite divorcé et est rentré à Ouvéa ou il a épousé une autre femme. Il est un des seuls écolos de l’île, et le seul que j’ai rencontré. Il s’occupe à lui seul de l’entretien et du nettoyage de la moitié de l’île !!!! Et comme je l’avais dit dans un précédent post, ce n’est pas une mince affaire, pasque les gens ici ont l’habitude de tout jeter par terre ! lui nettoie. Je lui ai parlé du nettoyage de printemps ou nous habitions avant. Il a semblé pas mal intéressé… peut être plus tard !
Thomas Cinquin, c'est pour toi ça ;-)
En attendant, pour vivre, il fait une visite de la pointe nord, zone totalement vierge et superbe ainsi que de la passe aux requins et de la « main », NIMEK , une nurserie de requins. Nous sommes donc partis, les autres en voiture et moi sur le scooter d’Antoine, à fond sur une petite piste qui nous rapproche de la nurserie. On fait une petite pause pour admirer une tombe du premier grand chef qui s’est converti au catholicisme et qui fut tué pour cette raison. Nous sommes ensuite partis à pied après 500m de plus de cross-scooter. Petite ballade au bord d’une plage paradisiaque (la fameuse plage de 25km), petite pause pour une explication sur les plantes médicinales et sur une plante qui remplace le savon et qui marche super bien ! Puis nous voici arrivés à NIMEK pour une explication de la part d’Antoine. NIMEK (ou mourir demain en Kanak) est en fait une nurserie de tout ce qui vit ou presque à Ouvéa, accessoirement des moustiques aussi. Mais particulièrement des requins. Et nous en avons vu des requins !!! Plein de petits pointes blanches qui se baladaient nous faisaient un remake des dents de la mer en laissant leur aileron dehors, sauf qu’ils ne faisaient pas plus d’1m !! Antoine à aussi choppé un joli crabe de palétuvier à coup de sabre pour essayer de l’immobiliser. En effet, ce crabe n’est pas normal.
Il ne se choppe pas comme les crabes de chez nous. Si tu le fais, tu dit adieu à ton doigt, il ira nourrir les requins, surtout vu la taille des pinces. Ce crabe il faut l’attraper par les pates arrière… pas facile sous l’eau. On enterre le crabe pour le retrouver au retour et on traverse le bras d’eau qui constitue l’entrée de la nurserie de requins. Pour info, le nom NIMEK est là pour signifier l’importance de ce lieu dans la vie (nurserie de plein de poissons) et aussi sa fragilité car s’il disparaît, c’est tout un tas d’espèces qui disparaissent…
On part ensuite pour la passe aux requins. De nouveau une petite marche sympa avec une vue de ouf, quelques tortues au loin nous regardent en sortant la tête de l’eau. Antoine nous pèche quelques demoiselles avec un épervier. On apprend à les enfiler sur un certain type de bâton puis on continue jusqu’à la passe aux requins. Petite baignade, petites grillades de la pèche, explications sur le lancer d’épervier, essais, quelques requins, une tortue à quelques mètres, on nage avec le tout, séance photos (admirez quand même le cadre !)
Retour difficile, personne ne veut me prendre. Je croise un jeune, sympa, on discute, il me dit que son oncle, qui a une Cadillac bleue doit passer pour aller dans le sud et qu’il peut me prendre. Le problème c’est qu’il sait pas quand il part. je lui dit donc que je verrai, je prendrai la première voiture. Il est quand même allé le prévenir que s’in me voyais, il pouvais me prendre !! Super sympa !
J’ai croisé 2 mecs bourrés qui m’ont accosté un peu rudement, mais tout s’est bien passé, on a discuté un peu et j’ai continué ma route tranquillou. Puis retour à la maison, 2petites bières et c’est reparti pour une soirée sympa !! Au menu, la fin du wahoo qui restait de la veille avec une nouvelle petite sauce dont je ne me rappelle pas, puis au lit assez tôt pour tout le monde. Le lendemain matin, réveil vers 8h, j’ai envie d’aller voir le trou bleu d’hanawa. Michèle me dit que ‘est tout simple. Il suffit de passer la tribu de Wadrilla, de continuer un peu et que je trouverais sans problème. Petit coup de stop, je suis emmené pas deux mecs qui bossent à l’hôtel paradis. Ils me déposent un peu après le chemin du trou bleu. En arrivant je suis un peu surpris : « tiens, le gite n’est pas censé être abandonné ? » bon, on verra bien, je m’avance, je demande à un petit vieux qui coupe de l’herbe juste devant « Bonjour !, est-ce que je peut aller voir le trou bleu ? » réponse du mec « Ah ben oui, pas de problème, mais voyez vous, on est en train de restaurer le gite et le trou bleu fait partie du gite, donc il faut payer 500F pour passer » « Heing 500F ??? » « bin oui, c’est pour pouvoir visiter monsieur ! » Mouais, encore un moyen pour me tirer 500 balles oui ! Enfin, j’ai envie de voir ce que ce trou vaut. Je traverse les quelques cases… effectivement, le trou se trouve en plein milieu des cases.
A première vue, rien de bien extraordinaire, c’est juste assez calme. A peine ais-je le temps de sortir le pain de ma poche que m’a donné Michèle que le petit vieux m’en passe un bout en me disant de le jeter dans l’eau, que je pourrais voir tout plein de choses comme ça. Je m’exécute donc et jette le pain dans le trou. 5 min, rien. Puis commencent à apparaître quelques poissons. Puis au bout d’un petit quart d’heure, c’est toute une multitude de poissons qui viennent picorer. Je passe une bonne demi heure à les regarder. C’est bien sympa, mais bon.
Je continue donc vers le « trou aux gendarmes » je ne sais pas si ça à quelque chose à voir avec les évènements, mais en tout cas, c’est assez sympa, mini falaises qui donnent sur l’océan. Je vois une petite plage au loin et je retourne par la route pour m’y rendre.
La plage est jolie, mais comme la majeure partie en Calédonie, elle est ultra crade. Je me pose un moment, un petit nautile traine, bof, je le laisserai à la mère de Joris, il est tout abimé. Puis la matinée commençant à se finir, je rentre sur Nimaha, toujours en stop. Dernier repas avec mes hôtes, petite sieste, puis sur les coups de 13h, Philippe m’emmène à l’aéroport. Je laisse mes bagages. C’est fini pour Ouvéa. Quatre jours merveilleux, que demander de plus à l’île la plus proche du paradis ?
PS : la plaquette d'Antoine que j'ai retrouvée dans mon bazar de papiers
OH MY GOOOOOOOOOOD !!!! Skonvaleurmettre à la rentrée !!!
RépondreSupprimerTrop ultime ton post (sympa la photo dédicace avec le ziquick, j'étais mort de rire)
t'as vu comment ça gère la barrière de corail ??
Absolument magnifique !!! +1
PS : concernant les crabes: je sais pas comment tu choppes les tiens, mais ça se choppe toujours par les pattes arrières !!!
PS2 : la séance photo s'annonce magique !!
PS3 : dans 5 jours, je surfe sur nos bonnes vieilles plages !!!!
Ben ché pas, moi les crabes je les choppes sur le coté de la carapace et ya aucun problème :-) là si tu essaie c'est mort^^ mais je savais pas que ça se choppait aussi comme ça chez nous^^
RépondreSupprimerEt oui petit scarabée !! Au fait, j'ai vu que tu avais mis une phrase bien énigmatique sur l'article du Vanuatu... J'ai hâte de savoir ce qu'elle cache (serais-ce ta conquête ?)...
RépondreSupprimerPS : au moment où j'écris ce commentaire, H-2 avant mon départ back to France !!
See ya
Héhé, c'est en effet le cas mais je sens que je vais la laisser énigmatique en ne l'expliquant pas :-) :-). m'enfin je pense qu'en lisant l'article sur le vanuatu, n'importe qui comprendra au moins le sens!
RépondreSupprimerLes émaciens, c les etudiant de l'EMAC ? (albi ?)
RépondreSupprimercher Anonyme, c'est tout-à-fait exact. Je dirais même plus c'est fout-à-tait axect.
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